Samedi 21 avril 2018
​On part pour Pékin, cette fois-ci par Roissy. On commence par un TGV direction Paris Est, puis à pied vers Paris Nord, enfin RER B direction Aéroport CDG Terminal 2. Ce RER ne donne pas la meilleure image de notre pays. Enfin, nous voilà arrivés à l’aéroport, on y retrouve 4 autres personnes, enregistrement des bagages, embarquement et c’est parti pour un peu plus de 10h de vol.
Dimanche 22 avril 2018
​On atterrit vers 15h (heure locale), le ciel est gris mais la température agréable. On passe les formalités douanières très rapidement et on se retrouve au niveau des taxis. On réussit à avoir un minibus. L’autoroute qui mène au centre ville est très encombrée, c’est une 2 x 3 voies. On pensait voir de nombreuses petites voitures et on découvre toute la gamme d’Audi, Mercedes et BMW haut de gamme. Après une bonne heure de route, on a traversé les 6 « rings » entourant Pékin, le taxi nous dépose à l’entrée d’une ruelle dans laquelle il ne peut pas passer. L’hôtel se trouve à 200m. On finira à pied. Notre Hôtel le « Beijing Double Happiness » se situe dans un Hutong (quartiers de Pékin aux maisons basses qui ont été entièrement détruits il y a une trentaine d’année pour être reconstruit à l’identique en neuf). Cet hôtel se veut un hôtel « traditionnel », les chambres sont organisées autour de cours intérieures et disposées un peu comme un motel. Nos chambres sont spacieuses équipées de mobilier traditionnel mais également d’une télé , d’un ordi et d’un téléphone totalement kitch. Malheureusement, Google et consorts sont mal vus en Chine et inaccessibles. La salle de bain est équipée d’une douche à l’italienne, d’un WC et d’une vasque de lavabo laquée.
La fatigue commence à se faire sentir, on décide d’aller diner (à Pékin, les restaurants ferment à 21h30). Une jeune femme de la réception nous indique un restaurant situé à quelques centaines de mètres, le « muslim restaurant ». O
n va découvrir la cuisine chinoise hallal. On nous installe sur une énorme table ronde et on nous donne les menus.
On feuillette les nombreuses pages et on commande un peu de tout, voire de trop. Il n’y a pas assez de place sur la table pour tout contenir. Entre les bols de riz, les choux fleurs pimentés, les courgettes caramélisées, les épinards aux cacahuètes, les brochettes de viande, celles d’aubergines, les raviolis à la viande et les plats de porc aux légumes, on ne sait plus où donner de la tête.
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Après le repas, la ½ de la troupe retourne à l’hôtel et se couche, l’autre ½ fait un petit tour dans le quartier très animé afin de digérer un peu. On repère la station de métro pour le lendemain. On retourne à l’hôtel, une bonne douche et dodo.