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COTE CARAIBES SUD

Samedi 21 février

 

Départ de la maison à 4 heures direction Frankfurt, notre aéroport favori.

Vol pour Houston trèsss longggg (11h10)... escale de 3h41 puis à nouveau un vol de 3h41 heures.

Le second vol se fera sur United Airlines et là nous serons surpris TOUT est payant, la télé, les boissons, les encas !.

Nous arrivons à 21h27 à San José (la capitale du Costa Rica) où Patrick du Tacacori nous attend. Les bagages sont aussi là, tout va bien. Le seul problème est la difficulté à retirer de l'argent dans les distributeurs, entre ceux qui ne donnent plus d'argent après 22 heures, celui qui est en panne et ceux qui ne veulent pas de nos cartes bleues nous ne pourrons pas retirer d'argent à l'arrivée, légère

inquiétude tout de même.

 

 

 

Nous passerons une bonne nuit au Tacacori où les enfants auront leur propre bungalow et nous de même. C'est très familial puisqu'il n'y a en tout que 4 bungalows.

Le Lodge appartient à des Français expatriés, comme énormément de logement ou restaurant au Costa Rica. Apparemment la douceur de vivre de ce charmant pays attire beaucoup

d'étrangers.

Dimanche 22 février

 

 

Lever de bonne heure du fait du décalage horaire (7 h)

Bon petit déjeuner avec des fruits frais, nous profiterons de ce pays où tout pousse pour manger beaucoup de fruits et nous abreuver de "Tropical juice".

 

Dans les environs de San Jose la principale attraction est le volcan Poas dont on peut contempler le cratère ... quand il n'est pas dans la brume (ce qui est très courant).

 

Après le petit déjeuner nous tenterons notre chance ... raté nous aurons droit à un "mur" de brume, cela nous empêchera pas de faire une sympathique balade dans la "forêt de nuages" environnante.

 

La petite route qui monte au Volcan est également très

belle, c'est une région de plantation de café et de fraises

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ensuite direction la côte Caraïbes après avoir mangé une pizza ... je sais, pas très local !

 

La conduite au Costa Rica n'est pas de tout repos et les kilomètres s'égrènent lentement. La vitesse maxi est de 80 km/h et c'est tant mieux, car s'il n'y a pas plus d'accidents c'est grâce à la "lenteur" à laquelle les Costaricains roulent. En résumé il ne faut pas compter avoir un moyenne bien supérieure à 50 km/h, allez 60 si vraiment tout va bien !

 

A partir de Limon nous longeons l'océan jusqu'à Puerto Viejo. La route est truffée de nids d'autruches, de personnes, vélos, animaux et voitures roulants ou s'arrêtant au gré des envies.

Néanmoins le spectacle est au rendez-vous, jungle luxuriante, maisons colorées, ambiance Jamaïcaine ... nous sommes ravis.

 

Gentiment accueillis à la Casa Moabi par un jeune couple de Français nous découvrons notre petit "chez nous" des 3 prochains jours.

vue sur le cratère du volcan POAS

vue sur le cratère du POAS

Nous avons une "casa" indigène que pour nous, légèrement à l'écart, trop bien !.

Au Rez-de-chaussée la partie commune avec cuisine, salon, hamac

Au premier les chambres pour les enfants entourées d'un "balcon". Il n’y a pas de murs, les « pièces » sont délimitées par des voilages.

Au second la chambres des parents avec également 4 petits "balcons".

Autour la forêt avec ses animaux et ses bruits (singes hurleurs, oiseaux).

Nous verrons même un paresseux sur un arbre tout à côté de notre casa.

La casa est prévue pour du Selfcatering, mais nous préférerons profiter des petits déjeuners de nos hôtes et prendrons nos repas dans des Sodas ou restaurants.

Les Soda sont les snacks locaux où l'on mange en toute simplicité.

En revanche n'imaginez pas manger "pas cher" comme en Asie par exemple, les prix sont au niveau de ceux des Etats Unis soit à peine moins cher qu'en Europe.

Nous dépenserons entre 16.000 et 32.000 Colonnes pour chaque repas (que ce soit dans des Sodas ou des restaurants)

 

Le soir petit tour à Puerto Viejo où nous dinerons au Stashu’s Con Fusion, excellent, notamment les « tropical juice ».

Nous avons bien aimé l'ambiance de cette partie des Caraïbes, certes il y a beaucoup de surfeurs étrangers, mais l'ambiance y est détendue, dépaysante et colorée.

La cuisine excellente (légèrement épicée mais non pimentée).

 

 

Première nuit dans la jungle, bercés par les bruits de celle-ci ... trop top !

 

 

lundi 23 février

 

 

Aujourd'hui soleil, top !, car sur la côte Caribéenne le temps est très changeant et la pluie rapide à arriver.

Bon petit déjeuner: fruits frais, pancakes, pain perdu ... miam

 

En route pour le parc de  Cahuita.

Très très chouette parc, entre jungle et plage.

En plus des palmiers et autres palétuviers le long des plages paradisiaques nous verrons des singes Capucins, des singes hurleurs, des sortes de ratons laveurs, des pintades, des Toucans et autres oiseaux colorés.

Nous avons traversé le parc et rejoint l'entrée sud, de là nous avons pris un taxi pour revenir à Cahuita.

Si j'avais un conseil à donner c'est de faire plutôt l'aller retour à l'intérieur du parc, c'est beaucoup plus intéressant que ce long chemin tout droit (même si nous y verrons des singes hurleurs).

Ensuite repas dans un Soda (Cafe Chocolatte) à Cahuita, très bon avec pas mal de Français, il faut dire que nous en tendrons beaucoup parler Français tout le long de notre séjour, entre les métropolitains et les Québécois très nombreux également.

 

 

 

 

 

 

 

 

Petit tour à l'hôtel avant d'aller à la plage de Cocles, réputée pour le surf, où Théo s'y essayera, dans un premier temps tout seul, puis avec un moniteur. C'est qu'ici les vagues sont autrement plus fortes qu'en Bretagne et il est difficile de franchir la première ligne.

Belle journée qui se finit.

Le parc de Cahuita et l'ambiance de cette région resteront un de nos coups de coeur du voyage.

Ok le Costa Rica est moderne ... mais il y atout de même quelques "approximaions"

Le soir repas au Soda Morpi's, Soda de Puerto Viejo. Décidemment on mange bien sur la côte Caraïbes.

 

mardi 24 février

 

 

 

Ce matin toujours beau, il n'y a eu quelques gouttes cette nuit, histoire de rafraichir un peu l'atmosphère.

 

Ce matin visite du Jaguar Rescue. Refuge qui récupère les animaux blessés dans le but de les réintroduire. Les habitants ayant pris conscience de l'importance de leur faune, ils signalent ou apportent les animaux sauvages en danger.

 

De la même façon ils essayent de maintenir leur flore en état. Il y a même un système de classification des établissements touristiques en fonction de engagement dans l'écotourisme (matérialisé par feuilles, un peu comme nos étoiles).

Chouette visite guidée, à la fin de laquelle Léonie s'est renseignée pour éventuellement venir en tant que volontaire ... c'est dire.

Il faut dire que pour chaque bébé singe récupéré, il y a une mère adoptive (jeune fille principalement) qui lui est attribuée et qui s'en occupe une bonne partie de la journée. Vous imaginez bien que Léonie s'y verrait bien.

Cela nous a paru bizarre, mais notre guide nous a expliqué que le singe étant un animal très social qui ne peut vivre qu'en groupe, on ne peut pas laisser un bébé seul sinon il se laissera mourir.

Nous verrons également dans ce refuge nos premiers paresseux (des 2 et des 3 doigts).

Après cette intéressante visite direction Manzanillo ou après un bon repas au Maxi’s nous randonnerons dans le parc / refuge de Gandoca - Manzanillo.

 

C'est ici que nous verrons notre plus beau spécimen de paresseux, ainsi qu'un groupe de singes hurleurs.

 

En revanche ce fut un vrai parcours du combattant dans un sentier transformé en bourbier par les pluies des jours précédents.

Les petites criques y sont de vrais petits paradis ... trop beau.

En fin de journée, direction la plage de Colcles où Théo fera encore un peu de surf.

 

De retour à notre Casa nous y verrons encore un paresseux en haut d'un arbre à côté du lodge.

 

Ce soir retour à Puerto Viejo pour un repas au Lidia’s Place Soda .... Très bon.

 

Encore une belle journée qui se finit et une chouette nuit aux bruits de la jungle qui se profile.  

La végétation à Manzanillo est différente que celle de Cahuita, moins exubérante, plus "aérée", comme un sous-bois de chez nous

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